Violet Daisy Grace Miller **

© Hysteriatic

Violet Daisy Grace Miller ÂGE : 17 ans. Je viens tout juste de les avoir. Dans un an, la majorité. Dans un an la liberté. Encore une seule petite année de supplice, et enfin je pourrais vivre ma vie comme je l’entends. Vivement. J’attends avec impatience de pouvoir enfin entrer dans le monde, dans ce monde, dans le monde réel, celui qui nous fait connaître *la vraie vie*. NATIONALITE : Écossaise. J’aurai aimé vous dire que je suis de nationalité Anglaise ou Américaine … Mais non ! Je suis simplement une petite Écossaise. D’ailleurs, je n’ai jamais compris cette fasciation pour les jupes-Écossaise. Que c’est moche ! A bas le tartan ! DATE & LIEU DE NAISSANCE : Je suis née le 08 août 1992, à Edimbourg, en Écosse. TITRE DE NOBLESSE : Héritière du trône d'Écosse ANNEE AU CHATEAU : 1ère année. Bien évidemment, personne ne m'a laissé le choix d'intégrer cette institution. Cette première année représente pour moi, un véritable fardeau. Et m'emmerde profondément.

« now it's up to you.

AVATAR CHOISI : Willa Holland
PRENOM, PSEUDO(S) : Marine
CODE REGLEMENT + CONTEXTE + EXPLICATIONS : Golden-Crown. Charming-Prince. Princess-Life.
AVIS SUR ROYAL-DESCENT : Un seul mot : EXTRAORDINAIRE. Non encore un mot : FANTASTIQUE. Le design est super. Les nouveaux perso’s sont géniaux. L’accueil du forum est simplement drôle et remplit de peps. J’aime énormément !
UN PETIT PLUS (a) ? : All Is Perfect ! & Longue Vie à RD !

« this is called the princes(ses) life.

Cette partie, mes amours, se déroulera sous la forme peu commune d'un réel entretient. En effet, on peut comprendre que la jeune génération de la Noblesse dont on a tant et tant parlé attire la curiosité et déchaine les passion. Ainsi, ceci est l'interview royal et obligatoire éxigé par The Queen en personne à tout élève rentrant au Highland Castle, quelque soit son année. N'oubliez pas de répondre avec justesse et honnêteté. Bonne chance !

Je suis dans ma limousine de 7 mètres de long. Je regarde l’heure sur ma Rolex à 14 000£. J’étais censé avoir rendez-vous avec la journaliste à 14h00. Je regarde ma montre, il est 14h37. Oups alors … 37 minutes de retard. J’espère qu’elle n’est pas partie. Cela me fendrais le cœur de ne pas pouvoir assister à cette interview de merde. Le voiture se stop. Un portier m’ouvre la porte. Je sors avec une assurance & un charisme à en faire pâlir Anna Wintour. J’entre dans le très célèbre hôtel du Plaza, d’Edinburg. Les gardes du corps me saluent. Je les ignore. Les hôtesses d’accueil se lève pour me montrer leurs respects et leurs sympathies. Je leurs jette un regard noir. Je prends l’ascenseur avec sa multitude de miroir et ses voûtes en or. Me voici quelques secondes plus tard, en train de pousser la porte de la salle de conférence de l’hôtel. La grande table et les multitudes de chaises ont étaient remplacés par 2 minables fauteuils rouge, style royauté-du-18ème siècle. La journaliste qui doit m’interviewer est au téléphone et semble complètement paniquée ; sûrement à cause de mon retard. Les photographes et les caméras de multitudes de chaines Ecossaises commencent à introduire ma face dans leurs boîtes. Les flashs commencent à m’assaillirent par-ci et par-là. Je m’assoie tranquillement dans l’un des fauteuils puis me vautre carrément dedans… Je les ignore tous.
- Bon on commence là ! Je n’ai pas que cela à foutre de mes journées !

« Bonjour à vous, jeune héritier, jeune héritière. Merci de nous faire aujourd'hui l'honneur de votre présence. Si vous le voulez bien, commençons facilement. Quel est votre pays et quelles y sont vos charges ? »

C’est bien trop aimable à vous de vouloir « commencer facilement » … Vous êtes bien aimable avec moi… Vous ne devriez pas. Après tout, je vous ai fait poireauter ici 45 minutes, sans passer le moindre coup de téléphone, pendant que vous, vous vous faisiez éclater la tronche par votre boss… Oup’s ! [... ]Mais bon, à part cela, je compte répondre à votre question, après tout je suis là pour ça, non ?
Hum … D’abords, je vais vous faire une piqure de rappel en vous disant que je m’appelle Violet Grace Miller. NON ! Violet Daisy Grace Miller. Mon deuxième prénom est important aussi. Même si j’évite de le donner aux gens, car les remarques du type : « Ah Daisy ! La copine de Donald ! » J’ai assez donné quand j’avais 13 ans…
Oh ! Et comme tous le pays doit être courant, je vais aussi vous rappelez que je suis héritière de la couronne d’Ecosse. Vous savez ce petit-pays là … Situé juste à côté de l’Angleterre … Au Royaume-Uni !
Ma première réponse vous convient j’espère ? Je ne voudrais pas vous faire gâcher votre interview…

« Très bien. D'ailleurs, en parlant de ce pays, l'aimez vous ? Aimez vous les responsabilités qu'il vous apporte ? »

Si j’aime mon pays ? Laissez-moi rire… Je le déteste. Avez-vous remarquez que pour 75% de la population mondiale, le Royaume-Uni n’est constitué que par l’Angleterre. Mais ce que ces gens ignorent, c’est que d’autres pays font partie de ce Royaume. L’Ecosse par exemple. Les gens ont trop tendance à oublier l’Ecosse. Peut-être que nous ne possédons pas d’icones de mode tel que Kate Moss, ou de grands groupes de rock célèbres tel que les Beatles ou les Clash… Mais l’Ecosse, ça peut-être sympa aussi … Par exemple … Les paysages verts sont magnifiques & 100% naturels. Et aussi… Les gens sont très sympathiques, respectueux et ont le sens de la famille. Cool, non ?
C’est pour cela que je reste sur ce que je pensais au début. Ce pays est complètement naze, et sans intérêt profond. Il ne fait que vivre dans l’ombre de son voisin : l’Angleterre.
Et c’est quoi la suite de la question ? Si … Si j’aime les responsabilités que m’apporte mon pays ? Ah ! Ok !
YEURK ! AU SECOURS ! A L’AIDE ! Je compte plus sur mon grand-frère Tom pour reprendre le flambeau. Jamais je ne souhaiterai diriger un pays comme celui-là. Mon rêve à moi ? Etre mannequin, ou photographe comme Patrick Demarchelier, et travailler ensuite dans ce milieu. Le milieu de la mode. Ce qui en soi, n’a rien à voir avec le fait de gouverner un petit pays minable en quête d’indépendance. Car oui, l’Ecosse veut son indépendance. Ils ont enfin comprit qu’il ne servait à rien dans le Royaume-Uni.

« Vous êtes sans doute très jeune. Que représente cette nouvelle année au Highland Castle pour vous et comment l'envisagez vous ? »

Si je suis jeune ? Regardez-moi ? J’ai à peine 17 ans. Et je déteste l’école. C’est pour cela que j’envisage cette année comme un fardeau. Je n’ai pas du tout envie d’aller dans cette école pourrie, qui m’apprendra surement des choses que je sais déjà depuis que je suis môme. Je n’ai pas envie d’apprendre à devenir une « Héritière-Digne-De-Ce-Nom ». Je n’ai pas envie de rencontrer des gens snobinards de la haute-Noblesse qui se sentent pousser des ailes car « ils ont un titre ». Je n’ai pas envie de vivre dans un ancien-château. Je n’ai pas envie d’entendre des histoires-bidonnes sur une certaine « The Queen ». Et je n’ai pas envie de croiser mon frère à chaque intersection de couloirs, et à chaque repas du petit-déjeuner & du déjeuner.
La seule chose positive au fait d’aller à Highland Castle, c’est que mon petit-ami Arthur sera à mes côtés, donc je ne serais pas vraiment dépaysé. Oui. Mon petit-ami rentre aussi dans cette école, en 1re année : il est héritier du trône du Danemark, Arthur Hericksen.

« J'imagine que lorsque l'on nait de sang royal ou tout du moins, très noble comme le votre, on doit avoir une enfance un peu particulière. Dans quelles conditions se déroula la votre ? Etait-elle très différente de celle des enfants normaux ? »

Je ne pourrais pas vous dire si j’ai eu une enfance normale, car je n’ai jamais connu « la normalité » Pour moi, les choses que j’ai vécu me semble tout à fait normal. Je n’ai pas d’éléments de comparaison pour me comparer aux autres enfants que vous dites « normaux ». Et puis c’est quoi cette expression « enfants normaux » ? Je n’ai pas 2 têtes, ni 4 jambes, j’ai étais constitué comme tout le monde. C’est juste … Mon mode de vie et mes manières qui diffèrent des « enfants normaux ». Pendant que certains s’habillaient en « Z » moi je portais du Kenzo Kids. Pendant que certains Papa & Maman étaient devant et conduisait la voiture pour aller au supermarché, moi j’étais dans un siège-bébé entouré de mes parents tous les deux au téléphone assis à l’arrière de la voiture, dans une limousine. Les enfants normaux vécurent en ville, moi je vécu dans un immense château Ecossais, avec des jardins faisant toute la superficie du Lichtenstein. Voilà la différence.
Avec le temps, j’ai appris que j’étais supérieur à tous les autres enfants. Je ne comprenais pas pourquoi leurs visages n’étaient pas étaler dans la presse à scandale. Ni pourquoi des hommes gros des gorilles, portant costard-lunette de soleil, ne tournaient pas autour d’eux quand ils se promenaient dans des parcs.
Avec mon frère, Tom, nous étions des enfants surprotégés. Nos parents nous faisaient surveillés en permanence pour éviter un drame, car on sait tous ce qui est arrivé à notre cher Kennedy. J’ai 2 ans d’écarts, avec mon frère, à l’époque nous étions très proche, toujours fourrés ensemble, à critiquer les parents dans leurs dos et à se plaindre de notre éducation pourrie. Notre famille était toujours étalée dans la presse, des photos de nous paraissaient chaque jour. Puis nous avons été envoyés dans une école privée. Avec des règles très strictes, des uniformes tirés à quatre épingles. Nos parents voulaient absolument que nous soyons bien élevés, que nous soyons des enfants-modèles, que tout le monde envie notre famille. Le paraître. Quand vous êtes issu d’une famille royale, c’est très important. Quand nous posions à 4 pour une couverture officiel, on été pomponné, on nous demander de faire un grand sourire, et on nous montrer comme la famille parfaite : Propagande quand tu nous tiens. « Allez s’il vous plaît faites un sourire pour la photo les enfants. Après vous pourrez refaire la gueule quand nous partirons. »
Pour nous : poser ses coudes sur la table, ou manger la bouche pleine, étaient carrément un concept inimaginable ! Pour nous, appeler nos parents « Papa » ou « Maman » étaient digne d’un scénario de Science-fiction, on se devait de dire « Mère » & « Père ». Nous sommes devenus des enfants pète-sec. Je jouais un rôle en permanence pour faire plaisir à ma famille. Mais je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas comme ils voudraient que je sois. Avoir du pognons, des cadeaux tout le temps, être considéré comme une fille-à-papa … Dîner avec des personnalités inaccessibles pour les individus lambda, tel était notre quotidien… Mais à quel prix ? Au fur et à mesure du temps, je remarquais que j’étais malheureuse. Et j’ai décidé de changer. Et je suis devenue telle que je suis aujourd’hui …

« C'est bien connu, la noblesse et le titre sont des droits héréditaires. Il nous faut donc aborder la case parents.. Comment décririez vous vos relations avec eux ? »

Etant enfant, j’étais comme je le disais précédemment une enfant modèle. Mes parents n’avaient rien à redire à mon sujet. Ils me souriaient. Riaient avec moi. Me présenter comme « leurs fabuleuse fille ». J’étais toujours propre sur moi. Je répondais : Oui, Merci, S’il Vous Plait … Puis, en découvrant que j’étais malheureuse, j’ai voulu changé cela. Si j’ai changé, c’est uniquement pour mon bien. Je refuse de vivre dans un personnage qui ne me correspond pas. C’est beaucoup trop dur. Porter un masque qui se colle de plus en plus à vous, cela devient étouffant. Alors, j’ai tiré et j’ai décollé mon masque pour me montrer tel que j’étais. C’était durant mon adolescence, je devais avoir… Quoi… Aller … 13/14 ans. Adieu les soirées mondaines. Les petites robes de princesse. La personnalité plate et vide-de-sens que je détestais. Et bonjour les fêtes déjantées. Le look trash avec des trous partout. Et MA personnalité que je m’étais façonnée. Mes parents ont très mal vécu cette situation. Ils m’en voulaient à mort, au point de m’enfoncer dans la presse en disant que j’étais psychologiquement atteinte et qu’il ne fallait pas m’en vouloir. Ils ne voulaient pas d’une enfant rebelle. Et nos rapports se sont empirés. Des disputes éclatées toute les 36 secondes. Les critiques et les remarque méchantes me concernant aussi. Et depuis ce temps, mes parents & moi sommes VRAIMENT en conflit. Surtout depuis que mon frère Tom a décidé de refuser le titre d’héritier pour vivre de sa passion, qui est la musique. Devenir l’héritière de la couronne reposait sur mes épaules, mais … Le truc, c’est que moi, je ne veux pas de tout cela ! De tout ce monde superficiel et royal ! Alors, je leurs ai clairement dis que je refusais moi aussi le titre, pour vivre de ma passion aussi : la mode. Pour eux, ce fut un état de choc, ils pleurèrent durant des mois et des mois. Se demandant « Pourquoi leurs enfants étaient des sales cons ? » Mes parents décidèrent de m’envoyer dans la même école que mon frère à Highland Castle. En espérant que l’un de nous « ai le déclic ». Cela fait maintenant, 13 mois que je n’ai pas adressé la parole à mes parents. Pas même un « bonjour » le matin. Ni un « Joyeux Noël » le 25 décembre. C’est une situation très délicate. Mais je m’en fiche. J’ai mon monde. Mon monde de fête, d’alcool et de drogues où je peux me réfugier.
Non, mais sérieux, regarder moi, est-ce-que j’ai l’air d’une héritière ? Je porte un pantalon cigarette noir troué avec un tee-shirt jaune-large avec Homer Simpson en dessin. Je ne coiffe jamais mes cheveux. Je mets du khôl sur mes yeux. Et le geste Fuck est devenu quelque chose de courant pour moi. D’un sens, ce silence est normal. Il n’est pas pesant. Ils nous convient à tous ! Face à la situation, nous préférons tous, simplement, nous ignorer …

« J'imagine que comme tout le monde, vous devez avoir vos petites préférences au chateau. Quelles sont vos matières préférées, vos endroits préférés, vos professeurs préférés, vos activités favorite ? Pas de tabou, cet interview est confidentiel. »

Je n’ai visité le château qu’une seule fois. Et j’ai trouvé l’endroit terriblement gore. J’en ai presque eu la chair de poule lorsque je marchais dans les couloirs. L’ambiance qui y régnait. Les regards des professeurs. C’été horrible ! Je ne sais pas si j’arriverai à m’habituer à cet endroit. Les couleurs sinistres, les plafonds hauts de 20 mètres… Il est certes impressionnant, mais vraiment flippant ! De plus, je ne suis qu’en première année alors, je n’ai jamais vraiment vécu, le fait d’habiter dans ce château et d’y aller à l’école pour suivre des cours. Concernant les matières que je serais susceptible d’aimer … Heu… Je ne pourrais pas vous dire : car durant l’explication des matières, la présentation des professeurs et tout le blabla qui vous fait chier pendant 4 heures, je m’étais éclipsé avec mon petit-ami Arthur pour que l’on découvre l’endroit à notre manière. Ah ! Si vous voyez ce que je veux dire…
Je sais déjà que je vais aimer la musique. Personne ne le sais mais, il n’y a pas que mon grand-frère qui est doué en musique, il y a aussi moi. Enfin, je pense être douée. J’écris, compose et chante mes chansons, sur des ballades acoustiques. Peut-être durant ce cour pourrai-je enfin faire dévoiler mon talent ?
Vous savez c’est grâce à Tom que j’ai découvert la musique. Je le voyais et l’écoutais jouer de la guitare. Il semblait adorer ça. Je l’admirais. Puis quand il a monté, puis est devenu célèbre star du Rock, tel Sting. J’ai commencé à le jalouser. Je suis devenue « La Petite Sœur De … ». Et cette nouvelle étiquette ne me plu pas du tout. J’adopta une drôle de réaction, et décida de voir ce que MOI je pouvais donner niveau musique. Et je trouve que c’est pas mal. Je ne cherche pas la concurrence avec mon frère. Juste … En fait, je n’en sais rien de ce que je cherche ! Je pense que j’aimerai vraiment qu’il ne soit pas célèbre dans le monde artistique. Mais … Tant pis !
Oh ! Désolée ! Je me suis égaré ! Je vois votre collègue là-bas qui fait de grands-signes pour me faire taire … Alors je vais revenir à nos moutons.
Donc… Ah Oui ! Mes endroits préférés au château… Et bien du peu que j’ai pu le visiter. J’ai fortement apprécié le lac. Etre en communion avec la nature. S’asseoir dans l’herbe. Se baigner dans le lac. Faire la sieste sous un arbre, ou y jouer de la guitare. Oui. Je pense que je vais pas mal squatter cet endroit …
Après il y a aussi les chambres. Et j’avoue qu’elles sont pas mal du tout ! Je dirais même, carrément grandiose. Je me vois déjà m’installer dans la salle-de-bain, et j’imagine déjà mon grand, voir immense dressing.
Car, j’adore les fringues, la mode. Depuis mon adolescence, j’ai une véritable passion pour ce domaine. Bon il est vrai que j’ai un style particulier. Mais acheté une paire de Nike High Montante Edition Limité, me redonne le morale. Craquer un jean à 900£ pourrait me sortir d’une déprime. J’aime mélanger les must-have. J’aime crée mon propre look. Et j’aime les boutiques, et les « BIP, BIP » quand je tape mon code de carte bancaire qui est, elle, en surchauffe.
Je vous aussi un culte inconsidérable à la photographie. J’aime intensifier un moment sur l’instant. Faire qu’il devienne éternité. J’aime jouer avec les contrastes. J’aime l’art en général ! Quand tu prends une photo … Tu sais que le temps que tu viens de vivre, sera figé, et que tu pourras revivre cette sensation dès que tu en as envie. Et c’est ce que j’aime en la photographie !
Sinon, j’aime, j’adore, et je ne jure que par les fêtes. Danser, boire, sniffer … Cela me fait me déconnecter de la vie réel ! Cela m’apaise ! Je vous choc ? Cela n’en est pas mon intention. Je dis juste la vérité. Venez un jour à mes fêtes, et vous verrez. A la fin de la soirée, tout le monde est complètement bourré, et défoncer à la coke. Tout le monde baise avec tout le monde. Mais pour nous c’est normal ! C’est notre mode de vie. Et j’en reviens au fait que je ne vit pas une « adolescence normale ».
Me réfugier dans le sexe ou les substances illicites me permets de me délivrer d’une espèce de poids. Sa va ! Relax ! Je ne suis pas non plus une junkie. Loin de là…
Je suis juste un peu rebelle sur les bords, c’est tout. D’ailleurs … Si vous voulez savoir … J’ai même un tatouage. (Se lève, et remonte le bas de son tee-shirt) C’est un Phoenix. Vous voyez ? Si j’ai choisis ce symbole, c’est parce que quel que soit la situation, le Phoenix renait toujours de ses cendres. Et j’aime cette image. J’essaie d’appliquer le truc. Après, quand tu te prends une porte, tu te relèves. La vie s’est pareille. Face aux coups durs, il faut faire face.

« Une question de réflexion personnelle maintenant. Comment pensez-vous être perçu(e) par vos camarades, amis, professeurs, en gros entourage, et puis par le peuple de votre pays d'origine ? »

C’est simple. A l’heure actuelle, aux yeux du peuple Ecossais et à ceux du Royaume-Uni, voir même du monde entier qui me connaissent … Je suis juste une It-Girl ! Je suis la fille riche, d’une famille de riche, qui ne fait rien de sa vie, et qui participe à toutes les Fashions-Week et qui s’habille extrêmement bien ! Les gens me perçoivent comme celle qui lançent les tendances, celle qui a un train d’avance niveau fringue. Avec mon style, ils me perçoivent comme une espèce de crado-bobo. C’est vrai, ils disent par exemple sur internet, que j’ai toujours l’air d’une cradingue, mais que grâce à mon style, je peux me permettre de faire impasse sur ma toilette. A partir du moment où tu laisses respirer ton visage, que tu oublies de te coiffer, que tu mets une chemise 4 fois trop grande et un jean troué … Tu es considéré comme crado ! Pas grave, je ne peux pas contrôler les opinions que les inconnus émettent à mon sujet. Je les accepte. Je m’en branle complètement.
Après concernant mes amis, ma bande … Eux me perçoivent juste comme : Violet. Ils savent qui je suis vraiment : une relou-sarcastique, une chieuse qui se plaint toute la journée, une hypocrite qui critique tout le monde, une fille douce qui en fait, aime aider les gens, une fêtarde accomplie et anticonformiste, légèrement Je-m’en-foutiste. J’aime tout ce qui est trash. Mais mes vrais amis savent que tout ceci est vraiment moi, mais reste aussi une carapace pour ma protéger du monde qui me fait si peur. J’ai vraiment une peur bleue de la réalité, une peur bleue des problèmes du quotidien, alors j’essaie d’oublier cela comme je peux …
Puis, mes camarades de lycée, eux, me percevaient comme une fille à Papa, sans aucun problème existentielle dans sa vie. Ils m’insultaient de « Bourgeoise », « de sale-gosse-de-riche » Ils me jalousaient tous. Ce que je comprends. Mais s’ils savaient vraiment qui je suis … Ils changeraient d’opinion à mon sujet ! Comme on dit : « Les apparences sont parfois trompeuses. » Les filles essayaient toutes de me parler, d’être amie avec moi, pour connaître mon environnement et se faire une place dans le milieu. Les gars ont tous essayé de sortir avec moi, non pas pour ma personnalité ou mon physique, mais juste pour mon blé. On s’habitue à cela.
Vient ensuite mes parents. Comment peuvent-ils me percevoir ? Comme une junkie, prostituée, trainant dans des squats, qui passe son temps à faire la fête et à gueuler que j’emmerde le monde ! Voilà comment mes géniteurs me perçoivent ! Jamais ils n’ont cherché à creuser au fond de moi. Jamais nous n’avons eux des discussions sérieuses sur le sens de ma vie et ce que je voulais faire …

« Vous sentez vous prête ou prêt à gouverner un pays, soutenir un titre, conserver les apparences, maintenir des alliances ? Ou pensez vous n'être tout simplement pas faît(e) pour ça ? »

Regardez-moi ! Qui voudraient d’une gouvernante aux allures de junkie-crado. C’est vrai. Arrêtez de faire de l’humour ! Parce que ce n’est pas très drôle ! Qui voudraient d’une gouvernante qui passe son temps à sniffer de la coke et s’acheter des fringues en buvant de la vodka-Red-Bull ? Qui voudraient d’une gouvernante qui déteste son propre pays ? Qui voudraient d’une gouvernante qui ne s’intéresse pas à autres choses, qu’elle-même !
Au début de cette interview, je disais que les Ecossais étaient respectueux, avaient le sens de la famille et étaient sympathique. Me retrouver vous dans l’une de ces qualités ? Je suis tout ce qu’il y a de plus vulgaire. J’aime les insultes. J’aime allumer les mecs. Ma famille me sort par les trous de nez. Je les déteste tous et les jalousent. Et je critique tout le monde et ne pense qu’à moi.
Soyons honnête, ce poste n’a pas du tout était taillé pour moi ! Et ne le sera je pense jamais ! Je suis vraiment à des années-lumière de ce que ma famille et le peuple attendraient de moi. Et jamais je n’ai songé au fait qu’un jour se serait moi. Parce que, arrêtons de formuler des évidences : ce ne sera JAMAIS moi qui sera l’héritière de la couronne d’Ecosse. Jamais ! Sinon, je ferai complètement couler le pays …

« Petite question pratique à présent. Imaginez que vous êtes sur un bateau, au milieu de l'océan. Le bateau heurte un iceberg, un récif, ce que vous voulez. On vous dit alors que l'on peut vous sauver, vous et seulement 3 objets. Que choississez vous d'emporter ? »

Merde alors ! Elle est conne votre question. On dirait un remake-pourave de Titanic. Et j’avoue que je ne me l’a suis jamais vraiment posé… Alors … Attendez 30 secondes. Heu …
En premier, je sauverai mon appareil-photo que j’ai toujours dans mon it-bag. Je prendrai pleins de photos de ce qui se passe, pour toujours me souvenir de l’incident. Mon appareil résume ma vie. C’est avec lui que je vis mes moments de joie, comme les moments les plus nazes de mon existence. Il capture tout et n’importe quoi. Une pose de vernis à ongles réussis ou raté. Arthur en string durant un pari. Les défilés de mode. Et me permets de temps-en-temps de me remémorer ce qui s’est passé durant une soirée. Car même quand je suis complètement out, je prends des photos. Et je les regarde quand je suis à jeun, pour pouvoir voir ce que j’ai vécu la veille. Cet objet me tient particulièrement à cœur. C’est un bridge, ayant coûté 7000£, que je reçus le jour de mes 14 ans par ma mère. Elle m’avait aussi acheté un album photo, en me demandant de le remplir avec les belles-choses qui me tenaient à cœur. Elle voulait apprendre à me connaître vraiment … Mais quelques temps plus tard, je devins la rebelle, et elle cessa de penser à moi. Cet appareil compte beaucoup à mes yeux. Car il me rappelle la vie que je menais avant. Même si elle ne me manque pas le moins du monde…
En second, heu, je sauverai… Qu’est ce que je pourrais sauver ? Mon BlackBerry bien-sûr ! Il dirige ma vie. Dedans je note tout mes rendez-vous, toutes mes fêtes auxquels je dois assister. Grâce à lui, je mets à jour très souvent à jour ma page Facebook & Twitter. Je reçois les newsletters de toutes mes marques et boutiques préférés pour savoir quand sortent les nouvelles collections. J’envoie des SMS coquins à mon petit-ami. Prends des photos débiles. Vous savez, pour tout ça, je pourrais me servir d’un PC Portable. Mais je ne suis JAMAIS chez moi. J’évite le plus possible d’y mettre les pieds pour ne pas affronter l’ambiance glaciale qui y règne. Alors, heureusement que j’ai mon BlackBerry. Bien entendu, il me permet aussi d’appeler mes contacts. D’ailleurs, en parlant de contact … Je dois en avoir, pas moins de … 800 ! J’avoue c’est énorme ! Mais que voulais-vous… Je me suis fais une place dans mon milieu, et je compte bien la garder ! Sans oublier, que dans mon BB, j’ai toutes mes musiques, car il me sert aussi de MP3. Je dois en avoir 11 000. Ma carte mémoire est géante alors je peux stocker, stocker et re-stocker…
Puis en troisième, je sauverai Arthur. Ce n’est pas un objet, mais… C’est Arthur. Mon Arthur. Je serai Rose, il sera Jack. Sauf que si cette tragédie : percuter un iceberg, m’arrivait, je changerai le destin de mon Jake Dawson, et je le sauverai ! Je le veux à mes côtés. Je veux sentir son souffle chaud sur ma peau. Je veux qu’il me prenne par la main quand on fait du shopping. Je veux continuer à prendre des photos connes avec lui. Il est ma raison de vivre et de continuer à vivre. Il me permet de garder les pieds sur Terre.
Avec Arthur, cela n’a pas toujours était facile. On s’est connu il y a un an, et on a eu un véritable coup de foudre l’un pour l’autre. Oui. Avoir un coup de foudre est un concept qui existe. Je l’ai vécu. Depuis ce jour, je suis droguée à Arthur, quand je ne le vois pas, je suis en manque et je crise. Même si au début de notre relation, les disputes, les histoires pourrissaient notre quotidien. On a survécu à cela. Et maintenant nous vivons en harmonie. Je sais que ma famille n’approuve pas cette liaison. Mais je l’aime à en crever. Et peut m’importe le reste. Quand nous serons au Castle, je vais enfin vivre avec lui tout les jours. J’attends cela avec impatience. Et aujourd’hui, je fais une annonce devant tout le monde : Arthur. Je t’aime ! Et emmerdons les mauvaises langues, et continuons à vivre de sexe & d’alcool ! Après tout, certains vivent bien d’amour et d’eau fraîche…

« Pourriez vous nous en dire plus à propos de vos relations au château ? Sont-elles bonnes, mauvaises, difficiles, ou au contraire êtes vous plus ou moins populaire ? Racontez-nous. »

Votre question me fait sourire. Comme vous avez pu le constater, je suis sympa, drôle et enthousiaste. Les gens aiment mon humour, aiment ma tchatche, aiment trainer et faire des sales-coups avec moi. Dans ma nouvelle école, je me contenterais d’être moi-même… Et tant pis, si mon comportement choc tout ses fils à papa, bourge & intello. Je m’en branle. Je ne changerai pas pour eux, sachant que je n’avais même pas envie de venir étudier ici. Mais, concernant mon intégration avec mes camarades, je ne me fais pas de soucis… Ils m’adoreront. Diront que j’ai un bon style. Et que je suis très mystérieuse. Je leurs feraient peur. Et n’oserons pas broncher en ma présence. Quand aux professeurs, ils me détesteront. Me cataloguerons comme rebelle. Me colleront ou même m’expulseront de ce bahut. Je compte leurs faires la misère. Et ne pas me laisser marcher sur les pieds par cette bande de cons…
Mais, face à ce tableau idyllique que je viens de dresser, il y a tout de même une couille dans le pâté : Je suis une Grace Miller. Allez énoncer ce nom à l’école et vous verrez les réactions. C’est encore pire que si vous disiez à une troupe de jeune fille de 14 ans : « LA BAS ! ROBERT PATTINSON allez-voir vite ! » Mon frère passe en 2ème année, il s’est crée une bonne place au château. Les mecs rêvent d’être vus en sa compagnie. Et les nanas, rêvent de faire un tour dans son lit. Il est beau, riche & célèbre. Tom Grace Miller the King of Highland Castle. Non je n’abuse pas.
Moi. Je vais débarquer. Ne connaissant personne. Et je vois déjà les réactions des gens : « OH ! Tu es sa petite-sœur !? » « Tu me le présentes ! » « Parle moi de lui, il est si intriguant ! » « Va-t-il refaire une tournée avec son groupe ? »
FUCK TOM ! Regarde ce que tu me fais subir ! Mon étiquette n°1 sera … « Petite Sœur de Tom Grace Miller ! » Génial non ? Les gens m’aborderons juste par intérêt, ces choses là se sentent, et se voit gros comme le nez au milieu de la figure. Mais enfin, on s’habitue à se genre de choses…

« Il y a quelque chose qui me passe par la tête. Vous êtes en formation ici pour diriger un pays, dites moi comment voyez vous votre vie après ce passage ici? Et dans 10 ans votre vie comment la voyez vous? »

CARPE DIEM les amis. Evitons de nous projeter dans 10 ans. Vous êtes tarés ou quoi ? Peut-être tout à l’heure vais-je mourir en traversant la rue ou en faisant une mauvaise chute dans les escaliers. Je ne prévois même pas ce que je fais dans 2 heures, alors dans 10 ans… Pensez-vous c’est carrément inconcevable ! Mais… étant à fond dans votre interview, je vais tenter de répondre et de réfléchir à une réponse digne de ce nom…
[Silence. Pendant 1 minutes et 12 secondes.]
C’est simple. Dans 10 ans. J’aurais 27 ans. D’ici là, je serais marier à Arthur. Nous vivrons dans un magnifique loft New-Yorkais, dans l’Upper East Side. Il travaillera dans la finance. Moi dans la mode et la photographie. Je serai la muse de Lagerfeld. Aurait ouvert mon magazine du style « Vogue » et se sera moi la photographe accompli. Nous aurons pleins d’argent. Une maison secondaire à Aspen pour skier l’hiver ; et dans les Hampton pour se baigner l’été. Tout les matins, nous irons au boulot ensemble en taxi-jaune, et on boira un café au Starbuck, en accompagnant le tout avec un beagle au fromage. On ira travailler, puis on déjeunera ensemble le midi dans l’un de ses restos indien ou chinois de NY divinement bon. Puis, on se retrouvera le soir, après le boulot. Ou on commandera des pizzas et où on baisera comme des chiens enragés en regardant American Idol & Big Brother et en critiquant tout les candidats. A 27 ans, on commencera à parler enfants. Puis à cette période de ma vie, la famille s’agrandira.
En tout cas, je ne me vois pas en Gouvernante de L’Ecosse. Pas question d’envisager cela. Aller dans cette école pendant 4 ans ne changera rien à ma vie. En sortant de là, je n’irai pas chez moi en sautillant et en disant « MA COURONNE. MA COURONNE. » Je reprendrai juste ma vie, là où je l’ai laissé.
Je ne veux pas de cette vie-royale. Je veux vivre autre-chose. Vivre dans la mondanité, mais une autre mondanité. Et il faudra me passer sur le corps pour que j’accepte le deal de gouverner l’Ecosse. J’ai des principes, et je refuse de les changer sous prétexte que je sois née dans la mauvaise famille.

« Donc cette vie que vous imaginez et celle que rêveriez d'avoir si je comprends bien. C'est merveilleux, il faut avoir des rêves. Oh mais j'y pense, parlez-moi un peu de ces rêves qui vous passent par la tête ? »

Mes rêves ? Mais c’est trop personnel. C’est ce qu’il y au plus profond de ma tête. C’est mes espoirs.
Je n’ai pas beaucoup de rêves, car les rêves sont faits pour être rêvé. D’où le principe du mot rêve. Mais mes rêves les plus fous sont seulement :
Que John Lennon ressuscite. Que chaque individu ai à manger sur Terre. Que la guerre cesse enfin. Que tout les pays puisse t-être développé où en voie de développement. Que chaque famille ai un foyer digne de ce nom. Que le racisme et les préjugés cessent d’obnubiler les pensées des gens. Et que ma famille accepte ma relation avec Arthur. Car, oui c’est un rêve. Cela ne se réalisera jamais, j’en suis consciente ! Ils voient tous mon Homme comme un gamin, solitaire, qui ne m’aime pas et se sers de moi. Ils disent qu’il ne m’aime pas. Et qu’il a un caractère trop dur à supporter. Mais, ils ne le connaissent pas et ignorent qui il est vraiment. J’aimerai tellement que lui & moi ça marche fort. Que les gens voient que nous sommes un couple uni & amoureux. J’aimerai que le fait de vivre avec lui se passe bien, que nous soyons encore plus proche qu’on ne l’a jamais été. Je voudrais me faire une vraie place chez les Grace Miller, et être vraiment considéré comme un être à part entière et non qui est assimilé à son père ou son frère. J’aimerai sortir un album avec des chansons d’amours, du trash, et des paroles d’espoirs pour guider les gens. J’aimerai devenir mannequin et défiler pour Diane Von Fürstenberg. J’aimerai que mes parents acceptent qui je suis vraiment. J’aimerais qu’ils me pardonnent de les avoir offensés et trahis. J’aimerai que plus personne n’ai vraiment honte de moi. J’aimerai que les gens éprouvent plus de considération à mon égard, et j’aimerai qu’ils arrêtent de s’arrêter aux clichés qu’ils ont sur moi, pour enfin se concentrer sur qui je suis vraiment.

« Et, vu où nous en sommes, vous n'avez pas quelques regrets où évènement marquant dans votre vie à nous faire partager ou du moins, qui serait susceptible de nous intéresser ? »

Vos questions commencent sérieusement à me taper sur le système. Que voudrez-vous savoir d’autres ensuite ? Ma pointure ? Mon tour de poitrine ? Ma fréquence sexuelle ? Vous êtes des malades vous les journalistes …
Pourquoi voulez-vous savoir tout cela ? Hein ? Allez-y dites moi !
Vous voulez vraiment savoir ce que je regrette ? Je regrette d’être comme je suis. J’aurai aimé ne pas être comme ça, et être quelqu’un de normal. J’aurai voulu vivre dans une famille normale, avec des « enfants normaux » J’aurai voulu avec une vraie relations-complices avec mes parents. J’aurai voulu qu’ils m’admirent, qu’ils soient fière de moi. J’aurai voulu ne pas insulter mon frère partout, comme je l’ai fait à la télé, dans la presse et la radio. La jalousie m’a fait perdre la boule. Et je le regrette. Je l’ai traité de connard devant tout le monde. Ai dit que c’été un sale-con qui ne méritait même pas qu’on prenne attention à lui. Mais encore une fois, je le répète, j’ai parlé sous le coup de la jalousie. Je me suis laissé emporter par mes émotions. Surtout que mon frère n’a pas eu que des joies dans sa vie, durant son épreuves de fiançailles avec Lily McBride … Qui est une espèce de sainte-Nitouche, elle aussi héritière d’Ecosse. Il avait besoin de soutiens, et moi je n’ai même pas été présente pour lui, alors que je sais que lui sera toujours là pour m’écouter et me soutenir quoiqu’il arrive … A part pour mon histoire avec Arthur. Et c’est pour cela que j’aimerais qu’il me fasse confiance, que j’aimerai qu’il m’épaule, chose qu’il ne fait pas, et c’est ça qui me déçoit. Mais malgré tout, il reste mon frère. Et Tom : Je t’aime ! Sache que c’est moi la femme de ta vie ! Et pas cette pseudo-Ecossaise avec qui tu es forcé de mariage !
Je vais vous dire un truc. Un jour quelqu’un m’a dit : « Violet. Mieux vaut avoir des remords que des regrets. » Ce qui est vrai ! Je réalise que ce que j’éprouve envers Tom, c’est plus des remords, car j’ai mal agit. Et dans le contexte, je regrette d’être une fille égoïste, méchante et dégueulasse. Mais, je suis comme je suis. Et tant pis … Les gens, de toute façon, ne change pas. Les gens qui changent c’est utopique. C’est dans la tête tout ça ! Nous restons et resterons toujours tel que nous sommes !

« Maintenant que nous connaissons tout vos rêves et vos regrets, je dois vous avouer que j'ai la vague impression d'oublier quelque chose d'important. C'est très agaçant. Vous devez savoir ce que c'est non ? Cette sensation étrange qu'il y a quelque chose qui ne va pas, qu'il y a un manque. Ha mais j'y suis enfin ! Toute personne même la plus aguerrie qui soit connait toujours la peur. Quelles sont vos plus grandes craintes ? »

Mon Dieu. Me dites pas qu’hier vous êtes venue à la fête chez Peaches. AH c’est pour ça ! Vous avez fumé, et donc maintenant vous êtes complètement défoncé. J’ai trouvé la solution au problème ! J’ai trouvé pourquoi vos questions sont aussi ridicules … Non mais franchement, vous voyez un peu ce qu’il faut endurer pour entrer dans cette putain d’école-pourrie. Peut-être vous-ai mentie, durant tout l’entretien. Allez savoir…
Non. Je déconne. J’ai été sincère, et ai parlé à cœur ouvert ! Ce qui est très rare d’ailleurs. Vous avez là l’interview-exclusive de Violet Grace Miller. YOUHOU !
Non plus sérieusement. Vous voulez connaître mes plus grandes peurs ?
LES CLOWNS et LES POUPEES. C’est vrai, je déteste ça. Les clowns m’ont toujours foutus la chair de poule, avec leurs grosses godasses, leurs gros pifs rouge et leurs maquillages blancs et leurs sourires figés. Etant enfant, je prié pour qu’au cirque, les clowns ne me choisissent pas pour aller réaliser un numéro, mais pensez-vous : j’étais toujours choisie, ces intermittents voulaient se faire bien voir devant la famille royale… Résultats ? Je pleurais toujours. Quant aux poupées, je n’aime pas celle en porcelaine. Je les trouve trop réaliste. Ont dirait qu’elles vont se réveiller et vous tuer… BOUH !
Là je déraille ! Ah ! Autre chose … J’ai peur aussi … Des araignées ! Je suis arachnophobe à mort ! Dès que j’en vois une, même si elle est minuscule, JE HURLE ! D’ailleurs, étant enfant, c’été Tom qui venaient les tuer pour moi, car en leurs présence je me tétanise et suis incapable de leurs donner la mort !
[Silence]
Sinon, j’ai peur de l’amour. J’ai peur qu’Arthur remarque que je ne suis pas celle qu’il lui faut et qu’il me laisse tomber comme une chaussette qui pue le camembert périmé depuis 2 ans et demie. Voilà de quoi j’ai peur. J’ai peur aussi que Tom refuse de retrouver notre complicité dentant dès suite à mes paroles blessantes. Et j’ai peur que ma famille ne soit pas là le jour de mon mariage avec Arthur. Ben quoi ? J’ai bien le droit de faire des plans sur ma comète non ?
Me retrouver seule, avec personne qui ne m'aime. Voilà de quoi j’ai peur.

« Une dernière question avant de vous laisser rejoindre votre lieu de vie, le château. Etes-vous effrayé(e) voir terrifié(e) par THE QUEEN ? »

The Queen ? Cette espèce de fantôme errant, qui est le mythe de Highland Castle ? Non mais vous êtes en train de me faire marcher. C’est comme si je vous disais. « Avez-vous peur de Casper ? » Cela n’a aucun sens. On à pas peur d’un fantôme, on n’a pas peur d’une légende. C’est complètement absurde. Vos questions sont à la limite du pathétique là !
Je ne sais rien de The Queen. Mais donnez moi votre numéro, et si un jour je l’a croise dans le château, je prendrais son spectre en photos et vous l’enverrez et vous redonnerez une autre interview exclusive, et ont passera dans une émission pour déglingué du cerveau, genre : « Les 30 mystères les plus incroyables »
Laissez-moi rire ! Heureusement que c’été la dernière question…
[Silence]
Elle était très sympa cette interview.

ENFIN. Je me lève et pars hors-du-champs des caméras, en prenant soin de baisser la tête pour éviter de me faire traquer par les photographes. J’aime voir ce qui se passe derrière les coulisses. J’erre un peu et prend une cigarette dans un paquet qui traine. Puis décide de garde le paquet, et me dirige ensuite vers la journaliste.
- Tenez vous en voulez-une ? NON ! Evitez ! Avec tout ce que vous avez consommé comme substance ces dernières journées, vous risqueriez de vous chopper une migraine…
Je me retourne telle une garce en arquant un sourcil, puis tends le bout de ma cigarette dans l’atmosphère. Et HOP ! 3 secondes plus tard, quelqu’un est venu me l’allumer. Je tire une taff, avant d’ajouter :
- Bobby ! Apportez-moi un verre de Vodka s’il vous plait …

&& Voilà. C'est finit ! =D
Si il y a le moindre problème avec ma présentation (qui est nulle à chier) n'hésitez-pas à me le faire savoir !
Toutes les critiques sont bonnes à prendre.

Et bien ton grand frère te VALIDE !

Je kiffe a mort ta présentation
Vivement le sujet petite soeur

BIEEEENVEEENUUUUE MARINE !
D'abord, j'aimerais vraiment te remercier de t'être inscrite, c'est super vraiment. En suite, merde quoi, mais ta présentation ma fait MOU-RIR DE RIRE !!
Je te jure que j'ai jamais autant rigolé devant une présentation.
Alors, alors non elle n'est pas nulle à chier du tout, crois-moi !

Vraiment je n'aurais pu espérer mieux. Bon, alors y a toujours quelques fautes d'ortho un peu génantes parfois mais pour une fois, je suis prête à faire l'impasse (sans garantir que tout le monde le fera, cependant.)

Encore une fois bienvenue, je suis ravie, absolument ravie de t'acceuillir dans notre belle famille !
VALIDATION pour moi

=O Merci à vous deux !

Tom : J'ai lu ta présentation pour m'en inspirer un peu. && tu remarqueras que je n'ai pas hésité à parler de toi dans mon interview ! Alors tu as raison, vivement un petit sujet entre frère & sœur ! =)

Estrella : MERCI BEAUCOUP ! =D Concernant les fautes, c'est bizarre parce que je les ai passé au correcteurs Word. Puis, elles sont aussi passé par celui de Mozilla ! =S
Mais, j'essaierai de repasser moi aussi derrière. Décidément, on ne peux pas faire confiance à la technologie. -_-'

Sinon, l'ouverture est prévue pour quand ? =D

Derien
Oui, je suis bien d'accord, et comme on fait tous des fautes (SANS MENTIR) rien ne vaut une relecture, et puis une relecture, et puis une relecture..... -ok, on a compris.-
L'ouverture, l'ouverture...
Notre seul problème actuellement, c'est d'arriver à trouver une date qui convienne à tous les administrateurs et qui en plus soit judicieuse pour une ouverture. Et ça.. c'est un peu compliqué, faut le dire. Alors je sais pas exactement, non, et j'en suis désolée. Mais bon, c'est quand même dans le très vif du sujet en ce moment, c'est bon signe !

Personnellement je suis en partiel jusqu'à vendredi de la semaine prochaine inclu donc attendons vendredi d'après. MIS A PART CA, oui, il y a quelque faute mais se sont seulement des fautes dans les temps, d'où le fait que le correcteur ait bugué. MAIS, ce n'est pas important, tout le monde fait un peu de faute (moi par exemple) et c'est la vie, c'est comme ça, et d'habitude, étant très tatillon voir atteint de frénésie orthographique, je ne dirais rien car je t'ai fait venir sur le forum et ta présentation est tout simplement génialissime donc BON, je n'arrive que maintenant pour te la valider, j'aurai aimé être le premier mais je reste quand même content de pouvoir valider ta présentation !!!!
Valiiiiiidééééeeeeeeeeeeeeeee!!!!!!!!!!!!

(Quand le forum sera ouvert, ne t'étonnes pas si tu reçois un message très particulier de la part de mon perso, Michael.
Bises,
Nick

PS : JE HAIS LES PARTIELS !!!!!!!!!!!!! A bientôt )

Je pense qu'une ouverture le samedi des vacances (ou le dimanche) serait une bonne idée.
Parce qu'en plus, pour ma part, OSEF mais, je suis en bac blanc de jeudi à samedi. =S

PS : Je hais les bac blanc .
PS2 : Un message très particulier ? --' Gné ?

ON DIT MERCI

Non mais tu verras Chuuuut :p
Et je suis d'accord, si on ouvre le samedi des vacances ça me va, j'en aurai fini avec les partiels et serais tranquille. On fait comme ça ? On ouvre samedi de la semaine prochaine ? (Réservez-tous votre samedi, VOUS êtes prévenus)

Bon, alors moi je reviens de Berlin samedi, sans doute en fin de journée. Alors je suis d'accord pour Samedi. Par contre autant vous prévenir, je dois aller chez moi père dès mardi, je ne pourrai pas vous accompagner longtemps..

Oui mais regarde, si tu es là samedi soir, dimanche et lundi, c'est BON Puis dis toi qu'après, il ya le 'reste des vac's, du temps, ça le fera

(Jviens de me mater Mars Attacks sur youtube!!!!!!!!!!!! C'EST TOUT CE QUE J'AIME )

Ouais, ouais, ça ira.
Mais vraiment Samedi, le soir même, sinon ça sera un peu trop chaud pour moi.

Oui oui, tkt pas

Violet, j'attend réellement notre sujet ensemble

AHAHAHAH ! Samedi ça va être fun !
VIVEMENT ! =D

&& Tom : ME TOO ! Un RP entre frère & soeur . YEAAAH ! Ca pu l'engueulade à 300 mètres là ... =S

PS : Je devrais être en train de réviser, mais ... Je suis ici ! I SUCK !
PS2 : On ne peut plus changer le mode d'édition. A savoir ; lorsque l'on écrit & que l'on mets en forme ce que l'on écrit, on a tout les codes HS, genre :

Citation :

[b] , [i] , [/font]

C'est normal ?

Oui samedi Violet, toi et moi, un sujet

Euh...Non ! Je pense pas

On peut toujours changer le mode d'édition, cherche tu verras le A/A à droite pour modifier le mode d'édition^^ Il est toujours là